Que faire d’une phrase qui ne vaut que pour ce qu’elle ouvre ? Dans Figures II, Genette montrait que Balzac utilise, dans ses romans, tout un tas de théories qui valent moins pour leur contenu de vérité que parce qu’elles permettent de faire passer, sous couvert de généralité, un événement qui ne répondrait pas sinon à l’exigence de vraisemblance. Autrement dit, les théories qui, dans le roman, prétendent avoir une valeur de connaissance, n’ont en réalité qu’une valeur fonctionnelle : amener en douceur un événement sinon invraisemblable. Exemple : (suite…)
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Les théories en toc (du roman)