Comme on n’a pas pu présenter nos traductions du Shijing, Auxeméry (via Pound) et moi (depuis le chinois), à la Maison de la Poésie de Rennes, celle-ci nous a commandé un texte.
On s’est donc amusés à fabriquer un fake pour l’ajouter au recueil.
Dans « La contrefaçon du Pangolin » j’explique pas à pas mes choix (en les rapportant au Shijing, mais aussi à Confucius, Roubaud, etc.) jusqu’à arriver à un poème intitulé « Cacher ses écailles ». Auxeméry, quant à lui, compose à partir de ma proposition un faux poème de Pound et, ce faisant, nous introduit dans la poétique fulminante du fou des Cantos.
On s’est bien amusés, et c’est à lire ici, sur Poezibao !
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