La poésie peut-elle la moindre chose face à la crise écologique ? Y a-t-il un lien entre le poème et le sauvage ? Est-ce bien sérieux, de vouloir uploader le vivant dans un livre de poèmes ?
Dans le cadre des « Mercredis de l’anthropocène », Jean-Claude Pinson et moi-même avons répondu aux questions de Jeremy Cheval, de l’École Urbaine de Lyon. Enregistrement audio (qualité un peu sauvage !) en cliquant sur ce lien, puis en haut de la page.
À la suite de cet échange, Jérémy Cheval nous as demandé, à Jean-Claude Pinson et à moi-même, de lui proposer chacun un texte inédit. Le mien essaie de répondre aux questions suivantes : La poésie est-elle en manque de peuple ? Le peuple est-il en manque de poésie ? En quoi le rôle écologique du poème est-il tout autre que celui de lanceur d’alerte ? Il s’intitule « Un tragique manque » et est accessible via ce lien.
.
.
.
[Illustration : Aquarelle de Jérémy Cheval]
Laisser un commentaire