La poésie est impossible à traduire, on le dit souvent. Mais en même temps, que peut-on bien faire d’autre avec un poème écrit dans une langue étrangère, qu’essayer de le traduire ? La revue en ligne Acta fabula publie ce mois-ci un essai critique de ma blanche main sur La Seconde profondeur de Christine Lombez, ouvrage dans lequel elle interroge les tenants et les aboutissants de la traduction de poésie par les poètes, et offre une savoureuse anthologie de leurs positions critiques. J’en profite pour avancer dans son ombre quelques éléments, tirés de ma modeste et courte expérience de traducteur. À lire ici.
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