on vit d’abord la toile militaire qui recouvrait la jambe informe au sac à dos du vert le premier homme dont la peau rouge était criblée de buée les yeux les tâches dont s’habillaient les siens
ils ne te regarderont pas
ils ne te regarderont pas non
nous en sommes là devant
les rails & le réel
à sa main les deux chiens musculeux sont des rod & pitbull sont les crocs sont le chant d’un premier homme sont l’homme & la marche alcoolique les rails du bout des doigts les ordres
il est nerveux mène les siens
vers son visage où se crispent les signes
d’autres le suivent & lui
suivent les chiens
avons-nous peur d’un chien de la horde des hommes pour racheter les siens & chacun contre tous la justice des gueules sont dans les muselières à l’autre main d’un verre alors
l’alcool où s’exhalait le lieu
la présence est derrière les chiens
brumeux font le sol de la gare à
l’arrivée de tout
prenaient l’envers sortaient par les entrées sept ou huit hommes une femme est en chaleur dit l’un marchaient la foule & en silence nous avions peur savions que les publicités dès lors
ne nous protégeaient plus
& sous la muselière on attendait
les crocs &
ils lâchèrent les chiens
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